FACE A LA TECHNOLOGIE... JE SECHE
Je suis dans la buanderie de la résidence, avec le linge sale de six jours, devant deux machines à laver. Deux modèles de la marque Vedette. Le premier avec un tableau de commandes classique indiquant températures et textiles. Sur le second, sans doute un peu plus récent, ne sont spécifiés que les types de textiles. Les commandes du premier lave-linge me sont plus familières, mais il est déjà rempli de fringues.
Alors, ce sera le second. Je songe que, nous les gonzesses, on a une espèce de sixième sens pour les machines à laver. Qu'on est capable de faire fonctionner n'importe laquelle. Trop fortes on est. Contrairement aux mecs qui perdent l'usage de leur unique neurone devant tout ce qui nettoie.
J'enfourne petites culottes et socquettes, tee-shirts et sweat-shirts. Je mets deux pastilles de lessive dans le tambour. J'indique "Coton" avec la molette, et j'appuie sur "Marche". Le tambour se met à tourner... Mais sans le bruit caractéristique de l'eau qui s'écoule.
C'est alors que je comprends que je viens de mettre en marche un sèche-linge.
(Je crois que je ne mérite pas la confiance de Vedette.)
Sinon, visite au Parc ornithologique du Marquenterre.
Deux filles, deux styles...
Sinon, quelques autres zoziaux :
Et re-mes filles, parce que ce sont quand même les plus belles de dames oiselles...